Rapide Comme le Vent
Feat. Tsukuri Zōn
Feat. Tsukuri Zōn
Petit à petit, je commençais à me faire à cette nouvelle vie dans le Quartier des Arts. Je m’habituais à ces nouveaux lieux et aux nouvelles têtes. Surtout que mes brûlures au dos, bien qu’elles laisseront des marques, ne me faisait plus souffrir autant qu’avant ! J’avais retrouvé une mobilité et une agilité presque normale. Ce qui signifiait que j’allais pouvoir reprendre des missions et m’entrainer ! Surtout que ça faisait longtemps que je ne m’étais pas réellement entrainé au maniement du katana. Je m’exerçais tous les jours, mais je n’avais plus appris de nouvelles techniques depuis une éternité. Ni même réellement amélioré celles que je connaissais…
Cependant, pour ça, j’allais devoir trouver un maître. Quelqu’un qui s’y connais et qui accepterais de m’apprendre et vu ma nouvelle situation, cela ne devrait pas être difficile. Les Tsukuri étaient tout de même réputés pour leurs talents martiaux contrairement aux Shinnin. Sauf que je ne savais pas où chercher… Il y avait bien Wanatabe-san et Kobayashi-san, mais je ne savais pas vraiment où les trouver et ils devaient certainement être très occupés. Et puis, je ne savais pas non plus si le Lion Écarlate s’était remis de ses blessures. Il fallait donc que je trouve quelqu’un d’autre.
Je me rappelai alors d’une rumeur qui disait qu’une nouvelle école de sabre venait d’ouvrir dans les environs. Si c’était bien vrai, c’était l’occasion de trouver un sensei car ce dernier n’avait peut-être pas encore beaucoup d’élève. Je me baladai donc dans les environs pendant une bonne partie de la matinée. Le Soleil était presqu’à son apogée quand je m’arrêtai enfin devant une enseigne. Il y était inscrit 風林火山流•剣術 Fūrinkazan-ryu Kenjutsu. Autrement dit, cela faisait référence à une vieille expression et je supposai que la technique de combat devait s’en inspirer. Je pris alors mon courage à deux mains et passai la porte d’entrée. J’arrivai alors dans un dojo où se trouvait déjà une personne. Il était non seulement plus grand et plus âgé que moi, mais aussi il était beaucoup plus costaud.
Bonjour, je m’appelle Aoki Katataka et je suis ici pour devenir votre apprenti, si vous m’acceptez, déclarai-je en m’inclinant.
Cependant, pour ça, j’allais devoir trouver un maître. Quelqu’un qui s’y connais et qui accepterais de m’apprendre et vu ma nouvelle situation, cela ne devrait pas être difficile. Les Tsukuri étaient tout de même réputés pour leurs talents martiaux contrairement aux Shinnin. Sauf que je ne savais pas où chercher… Il y avait bien Wanatabe-san et Kobayashi-san, mais je ne savais pas vraiment où les trouver et ils devaient certainement être très occupés. Et puis, je ne savais pas non plus si le Lion Écarlate s’était remis de ses blessures. Il fallait donc que je trouve quelqu’un d’autre.
Je me rappelai alors d’une rumeur qui disait qu’une nouvelle école de sabre venait d’ouvrir dans les environs. Si c’était bien vrai, c’était l’occasion de trouver un sensei car ce dernier n’avait peut-être pas encore beaucoup d’élève. Je me baladai donc dans les environs pendant une bonne partie de la matinée. Le Soleil était presqu’à son apogée quand je m’arrêtai enfin devant une enseigne. Il y était inscrit 風林火山流•剣術 Fūrinkazan-ryu Kenjutsu. Autrement dit, cela faisait référence à une vieille expression et je supposai que la technique de combat devait s’en inspirer. Je pris alors mon courage à deux mains et passai la porte d’entrée. J’arrivai alors dans un dojo où se trouvait déjà une personne. Il était non seulement plus grand et plus âgé que moi, mais aussi il était beaucoup plus costaud.
Bonjour, je m’appelle Aoki Katataka et je suis ici pour devenir votre apprenti, si vous m’acceptez, déclarai-je en m’inclinant.