La missive a trouvé place dans tous foyer Tsukurijine – vassaux compris.
L’idée est de revendiquer une action politisée au sein de la Vieille-Ville. De s’attirer les faveurs de la plèbe en jouant sur le côté des migrants ; plutôt que de les rabaisser, il s’agirai de les mettre en lumière. D’expliquer que le clan Tsukuri est pour l’introduction comme l’accueil des métèques.
Déconstruire l’image de cette noblesse égocentrique pour en façonner une nouvelle. Une manipulation obligatoire pour permettre d’apposer les jalons de la future dynastie au sein d’Asatsuyu.
Loin d’être l’instigateur de cette lettre, Yuugen a façonné de sa propre main, de nombreux tracts à disperser çà et là. Il s’attend à voir arriver de nombreux autres membres de son clan – probablement des hommes et des femmes qu’il connaît déjà. La clef derrière cette action coordonnée réside plus dans les vassaux que dans la noblesse elle-même.
En effet, ceux sont eux les plus à même de revendiquer ce qu’il leur revient de droit. Ce ceux sont eux qui peuvent expliquer aux quidams le tempérament de la dynastie Tsukuri à leur égard ; le fait qu’elle les a sauvé, nourrit, logé. Qu’ils sont bien portants et encore en vie uniquement grâce à eux.
Bien sûr, tout vassale s’est vu briefer. Sur ce théâtre d’opération à échelle grandeur nature, une simple parole pouvait mettre à mal leur plan.
Ainsi, Yuugen comptai bien faire en sorte de verrouiller ses cordes vocales le plus longtemps possible. Lui qui considère tout être comme inférieur à sa personne, voit cette façon de caresser le peuple dans le sens du poil comme une infamie. Non par car le peuple se doit d’avoir la vérité vraie. Mais plutôt car son clan n’a pas à se familiariser avec les badauds.
Un mal pour un bien, il en a connaissance. Si il participe à cette mobilisation, c’est avant tout pour servir ses propres intérêts. Monter dans la hiérarchie signifie jouer avec cette dernière. Construire son propre empire à côté reviendrai à se tirer une balle dans le pied. Il en a conscience.
Pour lui, ceux qui ont le contrôle des portes d’or, ont le contrôle des entrées comme des sorties du village. Une façon officieuse de contrôler la population et de se prémunir des troubles de la Ceinture Noire. Troubles qui ne cessent d’apparaître dans cette piteuse prison à ciel ouvert.
L’héritier Shinryo se trouvait non loin des portes, encapuchonner pour garder sa présence un minimum cachée. Ce n’est qu’une question de temps avant que la machinerie ne se lance.
L’idée est de revendiquer une action politisée au sein de la Vieille-Ville. De s’attirer les faveurs de la plèbe en jouant sur le côté des migrants ; plutôt que de les rabaisser, il s’agirai de les mettre en lumière. D’expliquer que le clan Tsukuri est pour l’introduction comme l’accueil des métèques.
Déconstruire l’image de cette noblesse égocentrique pour en façonner une nouvelle. Une manipulation obligatoire pour permettre d’apposer les jalons de la future dynastie au sein d’Asatsuyu.
Loin d’être l’instigateur de cette lettre, Yuugen a façonné de sa propre main, de nombreux tracts à disperser çà et là. Il s’attend à voir arriver de nombreux autres membres de son clan – probablement des hommes et des femmes qu’il connaît déjà. La clef derrière cette action coordonnée réside plus dans les vassaux que dans la noblesse elle-même.
En effet, ceux sont eux les plus à même de revendiquer ce qu’il leur revient de droit. Ce ceux sont eux qui peuvent expliquer aux quidams le tempérament de la dynastie Tsukuri à leur égard ; le fait qu’elle les a sauvé, nourrit, logé. Qu’ils sont bien portants et encore en vie uniquement grâce à eux.
Bien sûr, tout vassale s’est vu briefer. Sur ce théâtre d’opération à échelle grandeur nature, une simple parole pouvait mettre à mal leur plan.
Ainsi, Yuugen comptai bien faire en sorte de verrouiller ses cordes vocales le plus longtemps possible. Lui qui considère tout être comme inférieur à sa personne, voit cette façon de caresser le peuple dans le sens du poil comme une infamie. Non par car le peuple se doit d’avoir la vérité vraie. Mais plutôt car son clan n’a pas à se familiariser avec les badauds.
Un mal pour un bien, il en a connaissance. Si il participe à cette mobilisation, c’est avant tout pour servir ses propres intérêts. Monter dans la hiérarchie signifie jouer avec cette dernière. Construire son propre empire à côté reviendrai à se tirer une balle dans le pied. Il en a conscience.
Pour lui, ceux qui ont le contrôle des portes d’or, ont le contrôle des entrées comme des sorties du village. Une façon officieuse de contrôler la population et de se prémunir des troubles de la Ceinture Noire. Troubles qui ne cessent d’apparaître dans cette piteuse prison à ciel ouvert.
L’héritier Shinryo se trouvait non loin des portes, encapuchonner pour garder sa présence un minimum cachée. Ce n’est qu’une question de temps avant que la machinerie ne se lance.