Le sous-fifre du traître s'étant jeté sur la dague du forgeron tentait une dernière action désespéré, se saisissant des mains du jeune homme avant que celui-ci ne touche l'épée sacrée du seigneur Tsukuri. Et dans un dernier râle d'agonie, il s'adressa une nouvelle fois au chef de cette embuscade. Le moins que Dodo pouvait dire de ce sacrifice et de cette ultime action, est que le traître Fubuki savait s'entourer des bonnes personnes. Il était rare de nos jours de voir quelqu'un se jeter sur la dague d'un ennemi pour sauver quelqu'un d'autre. Le borgne le regarda tomber au sol, lâchant ses mains, le sang coulant de la plaie béante laissée par l'arme. Un filet de sang sortait également du coin de ses lèvres, laissant les deux flaques du liquide rougeoyant se rejoindre sous le corps, inerte, du soldat embusquée.
Un peu plus loin, les clones et l'attaque fulgurante d'Inka avaient eu raison du malheureux Fubuki. Fier et l'ego ayant pris un terrible coup, il continuait. Malgré le sang et les coups se fracassant sur son visage, il était debout. Le regard vide et les poings serrés, il semblait ne pas abandonner, comme si son seul esprit de vengeance avait pris possession de son corps, laissant son âme partir déjà loin. Malgré sa traîtrise, il n'en restait pas moins déterminé. Mais face à trois hommes, dont l'imposant esclave, tous ses assauts étaient vains, les poings s'agitant en l'air, repoussé par les assauts des deux copies et du primate. Puis il s'écroula, vide de toute force et définitivement marqué par les assauts répétés.
Malgré son instinct animal, Inka se mit en barrage des deux clones voulant terminer le travail et semblait résolu à ne pas bouger. Était-ce par compassion? Dur pour Dodo d'y croire. Peut-être que frapper un homme mourant et au sol ne l'intéressait plus, si bien qu'il dégagea le corps en direction de ses alliés en déroute. Le Watanabe n'était pas pour cette option, il aurait préféré l'égorgé de ses mains pour son affront au clan, mais si le sauvage en avait décidé ainsi, alors il respectait son choix.
-" Revenez tous, vite, Rakuen à besoin d'aide! Si quelqu'un connaît des gestes de premier secours pour limiter la perte de sang, c'est le moment de s'y mettre!"
S'adressa fougueusement le borgne aux mercenaires fêtant la victoire. Pourtant, celle-ci n'était pas totale, puisque le maître forgeron gisait encore au sol, la plaie recouverte par les mains d'une des copies du Watanabe, s'efforçant au mieux de limiter la casse. Alors que le forgeron se remettait de ce qu'il venait de se passer, une sorte de voix, plutôt un murmure, semblait venir jusqu'à ses oreilles.
Tournant la tête de droite à gauche, personne ne semblait l'appeler. Pourtant, de son œil unique, il pouvait voir l'épée sacrée bouger comme pour s'extraire du sol. Se frottant légèrement l’œil et secouant la tête, le jeune homme semblait d'abord croire à une hallucination, ou à un contrecoup de la fatigue. Pourtant, l'arme prononçait bel et bien un nom, celui du traître. S'approchant alors de cette dernière, le son se faisait de plus en plus proche, et les mouvements de l'arme semblait bien réel. Ce n'était pas une hallucination, l'arme murmurait bel et bien, et semblait en mouvement de surcroît. Difficile à croire pour un jeune homme comme Dodo, mais l'apparition du chakra avait quelque peu revu les frontières du réel dans ce village.
Le borgne s'approcha alors de l'arme, la retirant du sol, il la regarda un instant, avant de vouloir la remettre dans la boîte ornée, se trouvant quelques mètres plus loin. Pourquoi entendait-il cette arme? Pourquoi elle susurrait le nom du traître? Peut-être aurait-il eu une réponse si sa carcasse ne gisait pas sur le sol au milieu de ses alliés. Il fallait à tout prix sauver Rakuen, peut-être qui lui aurait les réponses!
-" La priorité numéro une est de mettre hors de danger maître Rakuen! Ensuite, nous repartirons en direction de la forge pour accomplir notre objectif initial."
Un peu plus loin, les clones et l'attaque fulgurante d'Inka avaient eu raison du malheureux Fubuki. Fier et l'ego ayant pris un terrible coup, il continuait. Malgré le sang et les coups se fracassant sur son visage, il était debout. Le regard vide et les poings serrés, il semblait ne pas abandonner, comme si son seul esprit de vengeance avait pris possession de son corps, laissant son âme partir déjà loin. Malgré sa traîtrise, il n'en restait pas moins déterminé. Mais face à trois hommes, dont l'imposant esclave, tous ses assauts étaient vains, les poings s'agitant en l'air, repoussé par les assauts des deux copies et du primate. Puis il s'écroula, vide de toute force et définitivement marqué par les assauts répétés.
Malgré son instinct animal, Inka se mit en barrage des deux clones voulant terminer le travail et semblait résolu à ne pas bouger. Était-ce par compassion? Dur pour Dodo d'y croire. Peut-être que frapper un homme mourant et au sol ne l'intéressait plus, si bien qu'il dégagea le corps en direction de ses alliés en déroute. Le Watanabe n'était pas pour cette option, il aurait préféré l'égorgé de ses mains pour son affront au clan, mais si le sauvage en avait décidé ainsi, alors il respectait son choix.
-" Revenez tous, vite, Rakuen à besoin d'aide! Si quelqu'un connaît des gestes de premier secours pour limiter la perte de sang, c'est le moment de s'y mettre!"
S'adressa fougueusement le borgne aux mercenaires fêtant la victoire. Pourtant, celle-ci n'était pas totale, puisque le maître forgeron gisait encore au sol, la plaie recouverte par les mains d'une des copies du Watanabe, s'efforçant au mieux de limiter la casse. Alors que le forgeron se remettait de ce qu'il venait de se passer, une sorte de voix, plutôt un murmure, semblait venir jusqu'à ses oreilles.
Tournant la tête de droite à gauche, personne ne semblait l'appeler. Pourtant, de son œil unique, il pouvait voir l'épée sacrée bouger comme pour s'extraire du sol. Se frottant légèrement l’œil et secouant la tête, le jeune homme semblait d'abord croire à une hallucination, ou à un contrecoup de la fatigue. Pourtant, l'arme prononçait bel et bien un nom, celui du traître. S'approchant alors de cette dernière, le son se faisait de plus en plus proche, et les mouvements de l'arme semblait bien réel. Ce n'était pas une hallucination, l'arme murmurait bel et bien, et semblait en mouvement de surcroît. Difficile à croire pour un jeune homme comme Dodo, mais l'apparition du chakra avait quelque peu revu les frontières du réel dans ce village.
Le borgne s'approcha alors de l'arme, la retirant du sol, il la regarda un instant, avant de vouloir la remettre dans la boîte ornée, se trouvant quelques mètres plus loin. Pourquoi entendait-il cette arme? Pourquoi elle susurrait le nom du traître? Peut-être aurait-il eu une réponse si sa carcasse ne gisait pas sur le sol au milieu de ses alliés. Il fallait à tout prix sauver Rakuen, peut-être qui lui aurait les réponses!
-" La priorité numéro une est de mettre hors de danger maître Rakuen! Ensuite, nous repartirons en direction de la forge pour accomplir notre objectif initial."