Ce rp fait suite à l'Intrigue.

Riku avait été ramené chez lui après un bref passage chez les Kodama. C'était des éléments des Shashutsuki qui étaient venus le récupérer. Ces derniers tenaient à lui affecter de bien meilleurs soigneurs que précédemment ayant appris ses exploits et bien conscient que l'élu commençait à devenir intéressant tant il semblait résistant pour ne pas dire puissant. Comment avait-il fait pour survivre à l'attaque du tigre titanesque ? Tout le monde se posait encore la question. D'après les rumeurs, Riku avait même été saisi dans la gueule du tigre tandis que ce dernier ravageait les Portes d'Or. Peut-on seulement revenir vivant de pareille aventure ? A t-on déjà eu écho d'une proie qui survit après être passé dans la gueule d'un prédateur ? De mémoire d'homme, rarement sinon jamais ! Voilà l'une des raisons pour laquelle le héros des Portes d'Or dont le nom commençait désormais à circuler sous le titre de Lion Écarlate, était devenu plus intéressant aux yeux des Shashutsuki. Quand bien même Riku n'avait toujours pas bénéficié d'une rencontre avec le plus haut personnage de cette branche des Tsuruki, il se savait plus surveillé que jamais.

Les cotes brisées, les jambes également, le Lion avait dû être pris en charge à domicile par les médecins envoyés par les Shashutsuki. Il étaient deux jours et nuit à son chevet. L'un était spécialiste des plantes, un non affin au chakra. Il faisait boire des sortes de tisanes au Kobayashi et mettait parfois de la poudre de feuille séchée dans ses repas. L'autre médecin était lui un affin au chakra. Son intervention sur Riku était encore moins comprise que le premier et pourtant, les deux se faisaient confiance et avaient fini par être totalement accepté au sein de la famille Kobayashi notamment au regard de l'état chaque jour meilleur de Riku. Des atèles en bois lui avaient été confectionnées pour ses jambes et dès que celles-ci avaient été redressées, elles furent solidement nouées sur ses jambes empêchant tout mouvement.

Riku garda le lit deux semaines, le temps qu'il ait du mieux au niveau de ses cotes. Ensuite seulement, il commença à pouvoir totalement se redresser et s'asseoir. C'était déjà un bon début. Avant cela, il éprouvait de sérieuses difficultés à le faire en plus de problèmes respiratoires. Cela dit, les soins combinés des deux soignants semblaient accélérer le processus de repos. C'était déjà cela de pris.